Dans la dynamique de réduire la population des espèces animales utilisées à titre expérimental les scientifiques ont consenti leur effort pour relever ce défi. Le but est de remplacer l’animal objet de diverses expériences dans les laboratoires. Découvrons à travers cet article les deux innovations entrant dans cette nouvelle lancée.
Des premiers pas considérables
Les pors, les lapins, les différentes espèces de rongeurs sont les plus concernés et de ce fait les animaux les plus ciblés. Des fonds ont été alloués dans cette optique à la recherche scientifique. Les chiffres du Ministère de l’Enseignement Supérieure de la Recherche et de l’Innovation parlent d’un effectif des espèces animales ayant passé de 1 910 519 à 1 865 403 entre 2019 et 2020. Des résultats encourageants. Qu’elles sont alors les méthodes à l’origine de cette amélioration ?
La méthode d’organes à puces
Mise au point grâce à la collaboration de scientifiques américains, cette dernière est très populaire. Des cellules sont en effet objets de culture in vitro. Il est obtenu des fonctions comparables à celles d’organsines capitaux du corps humain tels que les poumons, le cœur puis le foie. Qu’elle prouesse ! La deuxième méthode identifiée est le « Human skin Equivalent » toujours dans l’optique de remplacer les animaux dans les laboratoires. Produire des échantillons correspondants à la peau humaine toujours à base de cellules autrefois objets de cultures in vitro est le but de cette méthode d’où son appellation. Elle est jugée efficace pour faire des « essais chimiques dermatologiques » vu que texture des cellules obtenues présentent une texture identique aux cellules de la peau humaine. En outre, Les dernières innovations des systèmes 3D ont engendré la conception d’essais (à titre de simulations) de l’envahissement d’un agent pathogène. L’étude de la virulence d’une substance spécifique est également facilitée par ces innovations.